Il me semble, si vous me permettez que vous faites une confusion dans ce mot.
Holisme s'emploie pour ne rien oublier d'un être.
Donc, pour dire que cet être a quelque chose de plus que la collection de ses parties.
Un traitement holistique en médecine prend en compte chaque partie de l'homme, et inclut les relations entre les parties, ainsi que les échanges entre cet être et son environnement.
Mais cela ne contient pas l'environnement.
Le message du Christ est un message holiste, car il prend l'homme entier, sans oublier de remettre l'esprit en place, avant de guérir les jambes...
Les matérialistes ne sont pas holistes, rejettant l'insivisble âme qui donne la forme au corps. Les laïcistes ne sont pas holistes, qui rejettent les relations entre les individus et l'Etre créateur et Père présent à chaque instant en chacun de ses enfants (sauf en ceux qui comme eux se mutilent en le refusant).
On a dévié quand on a prétendu que le rassemblement des individus était plus puissant que la somme des capacités de chacun : cela voudrait dire que les quantités produisent de l'énergie ?
Cela conduit à dire que l'assemblée des fidèles fait la Présence réelle... ou que les lois sociétales feront émerger une religion ...
Erreur de Teilhard, et des matérialistes, dit le père Molinié.
Donc je remets holisme comme la justesse de rétablir l'entièreté d'un être, et de n'oublier aucune de ses capacités, ni fonctionnelles, ni relationnelles, ni ontologiques, dans l'accomplissement de lui-même.
Je vous remercie de votre réponse précédente.
Avec mes bonnes salutations
Glycéra
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