Si un Concile déclare infailliblement :
"Si quelqu'un dit que... , qu'il soit anathème",
et qu'un Pape le dit quelques siècles après,
on devrait alors rejeter rejeter son enseignement,
non pas en vertu du Droit,
mais en vertu de l'autorité (dogmatique) de l'Eglise.
Cela dit d'une manière théorique, sans vouloir juger du cas supposé (je ne prétends pas juger de savoir si le cas s'est présenté ou non).
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