« Une brèche dramatique » écrit l'ultra-fellaysien Ennemond à propos de l'ouverture partielle de la communion aux divorcés remariés. Mais pas une brèche suffisamment dramatique, semble-t-il, pour empêcher le processus de « normalisation canonique » c'est-à-dire de ralliement intégral de la FSSPX à François.
« Une reconnaissance de l'adultère » dit Ennemond mais les relations entre Menzingen et la Rome moderniste relèvent également de l'adultère spirituel, doctrinal et moral. Mais cela ne le gêne pas, bien au contraire.
« Cette brèche dramatique », cette « reconnaissance de l'adultère » n'empêchent pas Mgr Fellay et ses prêtres d'incliner la tête respectueusement en citant au canon de la messe le nom de « votre serviteur notre Pape François », l'homme en blanc qui aime se faire photographier tout sourire avec les sodomites et les transsexuels et qui, à coup d'équivocités volontaires comme lors de Vatican II, met en pièces l'indissolubilité du mariage.
La tartufferie et la trahison, elles ne sont pas seulement au Vatican, elles sont aussi à Menzingen et à Ecône.
On gagnerait à faire jouer Tartuffe par les clercs de la FSSPX. Avec Bernard Fellay dans le rôle-titre. Un rôle taillé sur mesure. Il y serait parfait. Plus vrai que nature.
Petrus.
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