Qu'est-ce que les medias viennent faire là-dedans ?
On aurait pu dire aussi que supprimer la circoncision était un brêche devant les (médias) romains à l'époque des apôtres quand ils ont débattu. Qu'importe ce que pensent "les Romains", ils sont fous "ces Romains" ! du Ier siècle, j'entends !
Alors, qu'est-ce qui ans ces cas de conscience d'un humain qui se présente honnêtement un confesseur change par rapport au "Ce que tu délieras sur terre, sera délié dans le Ciel, et ce qui sera lié sur terre, sera lié dans le Ciel" ?
La différence n'est-elle pas un enfantillage, un désir quantitatif, pondéral allais-je dire, de "communier", c'est à dire dans l'espèce de frustration enfantine de "je n'ai pas le droit, et c'est pas juste" ?
Il me semble qu'on a double cas d'incompétence : celui du conjoint mal accompagné pour retrouver la communion, et le confesseur mal outillé pour résoudre ces cas de conscience, et la suite de la vie catholique de quelqu'un désemparé par une situation qui dépasse son entendement spirituel.
On retrouve le devoir de fond :
Convertissez-vous !
Re-tournez-vous, de coeur, vers Dieu !
Et c'est vrai
1 pour les prêtres (donc pour les évêques qui les ont en charge)
2 pour les catholiques demandeurs de clarté dans leur situation de vie.
Mais qu'est-ce que cela fait que les medias comprennent de travers ?
On en a l'habitude, non ?
Il me semble que notre tâche est ailleurs pour faire changer le monde...
Glycéra
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