Tout le problème, depuis quelques années, est que la disparition de figures progressistes de type Martini pousse pardoxalement les progressistes à défendre des conservateurs, mais non traditionnels.
Ainsi, l'on voit même Golias défendre... le Cardinal Vingt-Trois. De même, les progressistes, frustrés de ne plus avoir de figure martinienne, se rabattent sur des candidats conservateurs, mais éloignés sur certains points de la ligne ratzingérienne. C'est ce qui est arrivé en 2005 et s'est renouvelé en 2013. Cependant, on voit des progressistes mettre en cause le pape François... La machine s'enraye un peu. Ce qui prouve que la finesse et l'habileté ne sont plus de mise chez des gens qui ne savent plus penser de manière stratégique... Mais à part Golias, on peut craindre que tous ces groupes de pression ne se rabattent sur François ou se servent de lui comme prétexte.
Dans un combat, tout est relatif mais tout peut aussi être absolu: quand vous avez des ennemis de vos ennemis, ils deviennent forcément des alliés. C'est un peu ce qui arrive à cette gauche progressiste. Ils soutiennent tout ce qui n'est pas ratzingérien.
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