... sauf que le consensus dont le texte parle à plusieurs moments est explicitement le consensus fidelium, de même que la coresponsabilité à laquelle il fait écho et qui ponctue le texte est celle de l'ensemble des baptisés.
On aime, ou on n'aime pas, mais à un moment il faut être un peu sérieux et lire dans les textes ce qui y est écrit, et non ce qu'on voudrait/craindrait y trouver. Car non, ce texte ne parle pas plus de consensus avec le monde qu'il ne parle de moteurs diesel.
Encore que: Perrin a son public, il lui sert sa prose habituelle, moitié incisive, moitié condescendante, enveloppée de panache verbal, pour un peu il évoquerait la pachamama. Piètres pitreries, mais... pourquoi pas, au fond?
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