Sans toutefois se dédire absolument. Si les autorités civiles et religieuses touchent au secret de confession, c'est la pagaille dans l'Église, outre l'énorme sacrilège à grande échelle du sacrement en lui-même. Les évêques se sabordent. Ce secret n'est pas seulement absolu pour des raisons de faire venir les pénitents qui sans le secret ne viendraient pas se faire absoudre par le Christ lui-même, mais aussi du fait du rapport des âmes au Christ qui est essentiellement intime, puisque c'est le Christ qui juge chacun après la mort et qui doit être aimé par dessus tout, le Christ étant par la foi l'époux de chaque âme. On touche à l'intimité des âmes et du Christ. C'est en quelque sorte un viol très grave, car c'est Dieu qui est cause de toute justice, y compris et surtout celle qui efface les péchés par le sacrement. Or si le secret n'est plus nécessaire c'est que le sacrement lui-même ne l'est plus.
Or si le salut des âmes est la loi suprême de l'Église, et que le sacrement de confession est absolument nécessaire pour aller au ciel, et que l'on remet en cause un secret si inviolable, à quoi sert l'Église ? Ou du moins à quoi servent ces hommes ? Qu'ils démissionnent en effet.
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