Merci à vous pour votre analyse, combien réaliste.
Reste un autre aspect, celui des petits garçons de campagne qui ne connaissaient comme cérémonies, fêtes, processions ... que celles organisées par M. le curé. Ils ne sortaient pratiquement jamais du village, et de toute façon c'était la même chose à la paroisse voisine.
Le curé et la paroisse rythmaient toute leur vie et ils ne connaissaient que ça. Nous étions loin des sollicitations de la jeunesse actuelle.
En ce qui concerne les vocations ou appels des garçons de famille "in vitro", je ne les mets pas tous dans le même sac, mais je suis parfois perplexe que j'en vois certains après leur ordination.
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je crois qu'il faut savoir reconnaître que tout n'a pas toujours été aussi rose que ça.
Enfin, quand vous écrivez Ils ont tout traversé, avec fidélité et courage. est-ce que ce n'était pas la mentalité de l'époque car on retrouve le même phénomène dans les couples: on ne divorçait pas, on prenait son mal en patience pour rester ensemble.
Bon lundi !
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