Benoît XVI avait déjà compris que toutes les querelles tournant autour des textes du Concile touchait à cette ambivalence qui permet à Mgr Lefebvre de les signer à la fin du Concile mais en même temps de provoquer la cassure de 1988.
D'où l'idée de développer l'herméneutique de la continuité.
Malheureusement , François, son successeur, rejette ce concept . En tout cas dans les faits. Il préfére plutôt aborder la chose sous un angle contraire puisqu'il dit que le Magistère se fonde désormais sur un nouveau paradigme. Celà n'aurait pas pu être possible sans le Concile Vatican II et sa façon de voir les choses.
Désormais donc, tout l'avenir de l'Eglise se jouera essentiellement sur les successeurs de François. C'est bien pourquoi nous avons toujours deux têtes en quelque sorte pour l'instant au sommet de l'Eglise. Deux façons de voir. Deux visions différents. Deux chemins possibles.
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