Les problèmes que vous soulevez sont intéressants et mériteraient une réflexion plus approfondie.
Je dirais que le biais historiciste, qui cherche et trouve partout des transformations, est la déclinaison historienne du présupposé matérialiste qui ailleurs (en sociologie par exemple) cherche plutôt des permanences.
Cela s'explique par le fait que l'histoire, pour laquelle (idéalement du moins) tout doit pouvoir être daté et situé, est aveugle à ce qui est intemporel (sans même parler de ce qui est éternel) : c'est à la fois l'intérêt et la limite de la science historique, me semble-t-il.
Peregrinus
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