Je ne peux pas sentir l'homme Claudel, je vous rejoins là-dessus. Il y a quelque chose de Tartuffe chez lui.
Mais la justice oblige à reconnaître quelque valeur -au minimum- à La Vierge à midi.
Qui songerait à nier le génie littéraire de Céline à cause de ses idées ? De même pour Brasillach ?
Et que dire d'Aragon, qui fut défendu ici par plusieurs liseurs, il y a quelques années, face à l'habituelle cohorte des chaisières et des culs-bénis ?
Je distinguerais également Claudel de Gide. Je trouve beaucoup plus de talent et, parfois, de grâce à Claudel qu'à Gide, qui a sciemment pris le parti de la refuser.
Concernant Mauriac, je n'aurai pas l'impertinence ni la grossièreté de répéter ici le jugement de Rebatet, mais il ne m'a jamais été possible de le supporter.
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