J'ai rencontré, écouté, puis bien connu le père Philippe.
J'ai très bien connu des gens solides "tradis" qui l'ont épaulé dans ses pérégrinations.
Un mystique assez démonstratif quand il célébrait, du genre de Padre Pio ou du curé d'Ars : immergé dans l'Eucharistie qu'il tenait dans ses mains.
Un prédicateur étonnant et très profond sur St Jean.
Il m'a été dit par des gens âgés compétents : c'est le meilleur johanniste que je connaisse.
Un prêtre qu'on pouvait penser perdu dans ses envolées, mais très attentif aux gens qu'il rencontrait, au souvenir vivace même des années après.
Malheureusement des jeunes filles ou jeunes femmes jouaient les "groupies" autour de lui, ce qui me déplaisait, car j'y voyais en elle de l'inconvenance, le contraire de la discrétion.
Vous voyez que c'est donc une interprétation fautive que je ressens. Pourquoi agir ainsi ? Mystère des âmes.
Glycéra
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