Certains pourraient toujours dire que Claude Rey, évêque de Dijon, est l'un des premiers évêques nommés sous le régime de Juillet, dont les premiers choix n'ont pas été heureux, et ont même jeté une franche consternation dans les milieux catholiques, aussi bien dans l'épiscopat (aucun évêque français n'a accepté de sacrer Mgr Rey) que parmi les laïcs ou dans la presse (aussi bien les mennaisiens de L'Avenir que Picot et L'Ami de la Religion). L'hostilité qu'a suscité le prélat dans son clergé est certainement pour beaucoup dans le fait que ces histoires sordides ont été longuement commentées.
Mais le libéralisme en l'occurrence n'y est pour rien. Les nombreux ennemis de Mgr Rey admettaient parfaitement que sa doctrine, qui était celle du reste de l'épiscopat français de l'époque, n'était pas en cause.
Peregrinus
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