Bonjour et merci, Meneau,
Ma question, voire "la" question, pourrait être aussi bien la suivante.
Pourquoi tant d'hommes d'Eglise persistent-ils à faire aller les catholiques dans une direction aussi propice à une conciliation fallacieuse entre esprit de sainteté et esprit de suivisme, alors qu'ils savent que cette direction n'est pas précisément placée sous le signe de la fidélité doctrinale et de la fécondité spirituelle ?
Il y a en effet une grande différence entre les années 2010 et les années 1960 : depuis, à présent, un peu plus d'un demi-siècle, nous ne pouvons pas penser ni agir comme si nous ne savions pas ce que donne la "réforme de l'Eglise", nous savons dans quelle mesure "leur" réforme de l'Eglise donne du fruit, et, sauf si ces hommes d'Eglise sont acritiques, amnésiques, ou inspirés par la malhonnêteté intellectuelle, les mêmes hommes d'Eglise ne peuvent quand même pas "faire comme si" la mise en oeuvre de l'orientation stratégique qui est la leur était couronnée de succès...
A moins que...
D'une part, leurs critères d'appréciation relatifs à l'échec ou à la réussite de cette orientation stratégique et de sa mise en oeuvre ne sont-ils pas aux antipodes ou, en tout cas, très différents des critères d'appréciation catholiques les plus orthodoxes et les plus réalistes qui soient ?
D'autre part, ne sommes-nous pas ici en présence de ce qui est expliqué dans ces deux textes ?
Ici.
Ici..
Bonne journée.
Scrutator.
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