Celui qui pardonne, c'est le bon Dieu. Et dans ce cas, son ministre, c'est le prêtre.
Ici aussi, cependant, on pourrait "in concerto" considérer que la victime d'une faute aurait un ministère possible et légitime.
Par ailleurs. Revenons à nos moutons. Vous écrivez :
"En somme, un mariage sans prêtre est possible (dans les conditions extrêmes que vous exposez). Mais cela ne fait pas automatiquement des époux les ministres du sacrement."
Ainsi, vous continuez à supposer qu'il pourrait ne pas y avoir mariage au seul motif de l'absence, même incontournable, d'un prêtre ?
Excusez-moi, avec ou sans l'avis des "savants", je me retire de cette discussion : elle est trop oiseuse à mon goût.
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