J'ai parfaitement reconnu l'article 9 paragraphe 1 de la Charte Constitutionnelle de l'Ordre.
J'ai d'ailleurs déjà cité ces dispositions pour expliquer que le Grand-Maître n'avait pas vraiment d'autre choix que d'accepter de présenter au Souverain Conseil sa renonciation. Et non démission, comme certains juristes du dimanche le prétendent.
En revanche, je maintiens que c'est une véritable violation de la souveraineté de l'Ordre, même une annexion, et qu'en d'autres temps, ça aurait déclenché une guerre.