Alors, est-il une règle ?
Certains ont fidélité à des coutumes, d'autres en inventent, d'autres encore font selon les années, selon les gens avec qui ils passent ce Noël.
Savoir ce qui est bon est un acte de reconnaissance quand il y a un "merci Seigneur" quasi à chaque bouchée...
N'est-ce pas le cas des (vertueux) gourmands ?
Jeûner à Noël serait-il reconnaissance à l'anniversaire de Dieu-Homme ?
J'aime la coutume d'inviter un esseulé... De mettre une assiette de plus pour le faire voir aux enfants si aucun isolé ne nous rejoint de fait.
Je reste tout de même incapable de me goinfrer avant le moment juste, avant l'heure célébrée de la naissance, donc avant la messe de nuit.
Veiller ensuite partagerait souvent la famille : quand les fatigués ou les enfants ne peuvent y être.
Comme je ne suis pas une bergère convoquée par les trompettes de minuit, en général, nous avons attendu le matin, ouvrant les cadeaux au retour de la messe, et déjeunant de belles choses toutes "spéciales Noël", surprises chaque année, incluant, en les combinant les préparations déjà disponibles des uns et des autres.
Et maintenant : je me conforme aux coutumes de l'endroit où je suis.
Et c'est cadeau béni à chaque fois.
Ces heures sont douces...
Je vous les souhaite ainsi !
Glycéra
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