À part le fait qu'« embrasser publiquement », pour des individus lambda comme la plupart d'entre nous, n'a pas beaucoup de sens, je ne verrais pas de problème à converser avec un nazi, un pétainiste (c'est quand même pas la même chose) ou un membre du KKK, ni avec un djihadiste, un communiste ou membre du gouvernement.
Je suis toujours complètement abasourdi par cette attitude, particulièrement fréquente chez les journalistes, qui consiste à penser que certaines personnes sont infréquentables ; qu'on ne doit même pas parler avec eux. C'est sidérant et incompréhensible.
C'est une attitude que je trouve bien illustrer par cette phrase qui se veut drôle, mais que je trouve pitoyable : « Je ne parle pas aux cons : ça les instruit. »
Thomas
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