A proprement parler il n'y a pas eu de jugement général (comment l'aurait-on pu ?) sur la validité des sacres et ordinations opérés par Mgr Thuc et successeurs. Il a été jugé de manière générale que tout individu passé par la "galaxie Thuc" serait a priori considéré comme dans l'état dans lequel il était avant son passage dans celle-ci. Il peut y avoir des exceptions (probablement très rares).
Dans la pratique, cela a pu aller plus loin comme le retour pur et simple à l'état laïc des prêtres ordonnés normalement puis sacrés par des thucites puis reconciliés avec l'Église. Ce fut une condition sine qua non de leur réintégration dans l'Église.
Le Vatican a considéré les risques (énormes) de non idonéité des personnes concernées à la fonction sacerdotale et au risque de scandale au sens religieux du terme.
Notez que cette règle s'applique également aux autres hiérarchies parallèles. Il serait trop facile que quelqu'un qui se verrait refusé aux ordres, se fasse ordonner/sacrer "ailleurs" et revienne exercer ses fonctions dans l'Église en court-circuitant tout contrôle...
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