Le chant intégral du Pater par l’assemblée était (et reste apparemment) une lubie des progressistes. Selon leur habitude ils ont testé dans les camps scouts qui échappaient au radar des autorités. Puis timidement les rubriques de la semaine sainte l’ont fait réciter aux fidèles dans les messes basses, puis plus tard dans les messes chantées. A la prise de St-Nicolas, il y avait une belle salade d’usages. Me concernant j’étais pour le respect des rubriques. Mgr Lefebvre et la jeune FSSPX également. Mgr Ducaud-Bourget et son maître de chapelle Jean-Philippe Sisung exigeaient que la chorale le chantât. Au jubilée de Mgr Lefebvre le conflit atteint son paroxysme. Sisung voulait renvoyer de la chorale tous ceux qui ne le chanteraient pas. Nous fumes quelque uns à résister. Puis Sisung viré de St-Nic. fit des passages à Saint-Eugène et Ste-Odile où il imposa pour quelque temps sa lubie . Vainement. Donc il y eut trois lieux à Paris dans un temps très limité. Ce fut une séquelle de 65. En aucun cas les communautés ED n’ont adhéré majoritairement à ces exceptions.
Cette fixette de l’abbé Amar est amusante. Il a quitté la FSSP et le monde tradi il y a bien longtemps. Qu’il retourne faire le l’apostolat dans son diocèse qui s’effondre (une entrée au séminaire cette année) plutôt que de piocher dans le vivier du pèlerinage de Chartres et cesse de nous donner des leçons.
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