perdu lors d'une fausse couche ou d'un avortement provoqué :
Can. 871 – S’ils sont vivants, les fœtus avortés seront baptisés dans la mesure du possible.
Aucune limite de temps n'est prévue : le Code annoté souligne que la doctrine de l'animation dès la conception est tellement établie que le baptême est effectué non pas sous condition ("si es capax, ego te..."), mais sans condition : "ego te baptizo".
Par ailleurs, des mystiques ont encouragé à baptiser symboliquement les enfants décédés même il y a des années, en leur donnant un prénom (chrétien, évidemment...), et une aspersion d'eau bénite pour symboliser ce désir de baptême. Cela dans l'idée que les limbes ne seraient pas éternels, mais que les enfants qui s'y trouvent découvriraient peu à peu Dieu, puis entreraient au Paradis.
Un évêque (de la hiérarchie officielle) organise des cérémonies de ce genre. Mais chacun peu confier à Dieu un ou des bébé(s).
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