Qui n'est certainement pas heureuse, mais qui a été puissante dès le début du 20ème siècle dans l'Eglise. Il faudrait déjà commencer par le pontificat de saint Pie X qui, je le pense, avait déjà glissé vers de mauvaises manies (les simplifications, mais aussi un certain archéologisme et même des innovations pas toujours habiles comme la cérémonie de la profession de foi).
Aujourd'hui, on constate à juste titre qu'un rite ne doit pas simplifié et garder quelque chose répétitif, mais dans les années 50 et même avant, on pensait que la simplification était une solution logique et un mouvement naturel dans l'évolution actuelle des rites.
Le Père Calmel était même favorable à une simplification des signes de croix au canon, d'après un article lu sous la plume d'un auteur de la FSSPX. La diminution des génuflexions participe de cette même logique un peu trop rationnelle et dont on voit les limites. Mais chez les orientaux, on découvre quand même que les rites doivent avoir un certain aspect tonique comme on le voit avec les répons fréquents (les dizaines de "Tebi Hospodé Pomelouy" chez les gréco-catholiques).
Il n'est pas interdit de dire que certaines démarches n'ont pas toujours été heureuses. Fussent elles encouragées au sommet.
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