Cher Marc. Il savait que la partie était perdue d'avance, sans un évêque qui aurait le courage de résister avec les armes intellectuelles philosophiques, morales qu'il avait.
Je vous souhaite sincèrement d'avoir un évêque qui résiste comme lui. Sincèrement. Car sans un évêque, c'est perdu d'avance.
Alors il est probable qu'à un moment, même le cardinal Burck ou Sarah, face au possible mariage homosexuel dans les églises, disent "stop" comme l'a fait Monseigneur. Pour moi la pachamama et la communion des divorcés-remariés qui sont des abominations absolues, et sont des outrages des scandales contre Dieu directement, auraient du suffire à les faire s'opposer de manière radicale. Il n'en a rien été.
Et le problème de ces scandales, c'est que même s'ils sont monstrueux, on finit par s'en accommoder à cause de l'autorité que l'on a eu dessus de nous. Est ce bien raisonnable alors que ces actes provoquent très probablement la damnation de beaucoup d'âmes? Sincèrement et comme je tiens absolument à ma vie éternelle, je n'ai nulle envie de jouer ce petit jeu d'accommodements "raisonnables". Ils vont vers l'abîme ? Ce sera sans moi. Evidemment et comme le disait Mgr Lefebvre, impossible d'imposer quoique ce soit à quiconque. Un "non possumus" est en revanche absolument légitime.
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