François a un problème avec la notion même de vérité, car pour lui un énoncé de vérité n'a qu'un rapport indirect et artificiel avec la réalité ; la vérité énoncée n'est pas conformité au réel ; adhérer à des vérités énoncées,ne saurait être fondamental.
Je pense que sa philosophie s'apparente plus au nominalisme pour lequel les concepts universels sont des étiquettes ou des images idéales qu'au réalisme aristotélico-thomiste. Ce qui va avec un primat du pragmatisme, de la praxis sur la vérité stable et antérieure à l'action.
En tout cas c'est le lit du relativisme. D'où son primat du temps (des processus) sur l'espace (la vérité stable).
Tout ça est très grave pour l'exercice du magistère.
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