Deux cas, dit-on, et je trouve la position assez apaisante :
Distinguer si on est prisonnier d'un secret,
ou gardien de ce secret.
Il n'est pas nécessaire de divulguer, mais qui a connaissance l'a reçue pour en faire quelque chose : vivre droitement pour rectifier la bourde, prier pour demander qu'on efface les nocivités conséquentes, gardant les cadeaux venus par cette histoire.
Notre époque est malade de la haine du secret, trop de gens divulguent, éclatent façon puzzle sans pudeur, et sans voir les conséquences.
Elle a aussi été malade, aux générations d'avant pour qui la façade sociale primait, du "qu'en dira-t-on en ville" qui a conduit à cacher, enfouir, nier, dénier, renier.
Naviguer droit, entre les deux marées bousculantes, et donc rester centré sur sa Voie, avec Son Seigneur pour navigateur.
Ne vivons nous pas une ère de clarification du nécessaire ? Un retour aux valeurs qui comptent devant Dieu ?
En voyant se lever des gens comme Louis Fouché, je le pense. Et j'en remercie le Seigneur de me le donner à voir.
Glycéra
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