Le passage qui suit est ce que dit Sophar à Job pour l'accabler, alors que Job est rongé par la maladie. Ce qui est latent dans ce passage est qu'en fait Job est bien la figure du Christ qui prend sur lui nos péchés, alors que Sophar est la figure de Dieu qui châtie les pécheurs. Mais le Christ et Dieu ne sont qu'un. Il est délirant qu'un pécheur qui a un moyen si facile de recourir au Christ n'en profite dès lors pas. Il y a bien un mystère d'iniquité dans la volonté de se damner, car "tous ceux qui commettent l'iniquité sont leurs propres ennemis" dit St Raphael dans le livre de Tobie. Et pourquoi être son propre ennemi ? Ca dépasse l'entendement. Oui nous pouvons avoir pitié de nos persécuteurs et prier pour eux aussi, non seulement parce que le châtiment qui leur est réservé dépasse l'imagination, mais aussi parce que même si nous péchons tous, Dieu fait pour nous infiniment plus que ce que nous ne pourrions jamais faire à notre pire ennemi, puisque l'offensé est Dieu, et que le pécheur c'est nous, et cependant il nous remet tant de peine le Dieu d'amour.

"Ce que je sais être dès le principe, depuis que l'homme a été placé sur la terre, c'est que la gloire des impies a été courte et la joie de l'hypocrite comme un moment. Si son orgueil s'élève jusqu'au ciel, et que sa tête touche les nues, il périra à la fin comme un fumier, et ceux qui l'avaient vu diront : Où est-il ? Comme un songe qui s'envole, on ne le verra plus; il passera comme une vision de nuit. L'œil qui l'avait vu ne le verra pas; et son lieu ne le regardera plus. Ses enfants dépériront par l'indigence, et ses mains lui rendront la douleur qu'il a faites aux autres. Ses os seront remplis des vices de sa jeunesse, et ces vices dormiront avec lui dans la poussière. Car comme le mal est doux à sa bouche, il le cachera sous sa langue. Il le ménagera, et il ne le laissera pas, mais il le tiendra caché dans sa gorge. Son pain dans ses entrailles, au dedans de lui, se changera en fiel d'aspic. Il vomira les richesses qu'il a dévorées, et Dieu les arrachera de ses entrailles. Il sucera la tête des aspics, et la langue d'une vipère le tuera. (Qu'il ne voie point couler les ruisseaux d'un fleuve, et les torrents de miel et de beurre). Il expiera tout ce qu'il a fait, et cependant il ne sera pas consumé; c'est selon les richesses qu'il aura acquises qu'il aura à souffrir, parce qu'en les brisant il a dépouillé les pauvres; il a ravi une maison qu'il n'a pas bâtie. (...) Lorsqu'il se sera rassasié, il sera oppressé et étouffé de chaleur, et toute sorte de douleurs fondront sur lui." (Tiré de la seule traduction française de l'abbée Glaire approuvée par le st Siège sous Pie IX)

"Il a dépouillé les pauvres; il a ravi une maison qu'il n'a pas bâti." Par rapport au great reset et la faillite des restaus et ce "reset" des dettes, l'idée est que tout le monde mange mac do (ils sont d'ailleurs ouverts) sauf quelques privilégiés, après avoir provoqué la faillite des restaus et racheté à vil prix tous les établissements. La bourse bat des records, alors que l'économie réelle s'effondre. Et cela est odieux aux yeux de notre Dieu, mais en même temps faut-il s'étonner de ce qui arrive, alors que le sang de Jésus-Christ coule de moins en moins sur les autels ? Le châtiment de l'apostasie est de livrer les nations à l'ennemi.

"Lorsqu'il se sera rassasié, il sera oppressé et étouffé de chaleur, et toute sorte de douleurs fondront sur lui." Ne voit-on pas qu'alors même que les médias parlent et accablent ces deux prêtres en garde à vue et les paroissiens pour le non-port de ces masques, on parle aussi depuis quelques jours de ces dîners clandestins avec ces ministres qui y auraient participé? Oui plus ils nous opprimeront, plus ils seront mal, et dès ce monde. Ce qu'ils refusent de voir, car ils se rendent aveugles.

Par rapport à ce texte de Job, faut-il envier ceux qui initient et veulent ce grand reset, due à l'impénitence (la crise de 2008 aurait du permettre un retour en arrière, mais aucune puissance financière n'a renoncé à ses bonus et ses richesses)? Franchement non; vraiment, non. Il faut vraiment envier la croix du Christ et le statut de persécuté. Mille fois, deux mille fois, infiniment... St Pierre parle "d'un peu de souffrances" avant une récompense qui est inouïe.

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