Toujours ce même lundi 3 février, PL écrit :

Dès lors qu’aux lendemains du Concile les évêques mous et théologiquement peu formés ont regardé sans broncher des prêtres massacrer la liturgie, démonter le catéchisme, liquider l’art sacré, le processus de désintégration de l’Église était lancé.

Peut-on alors m’expliquer comment suivre aveuglément les enseignements, notamment en matière liturgique, d’un Concile qui a réuni des « évêques mous et théologiquement peu formés » ? Et, accessoirement, comment se fait-il que la réforme liturgique « traditionnelle » qu’on veut nous vendre « ne trouve plus aucun acheteur » ?

En paraphrasant ce que saint Pie X déclarait en 1910 dans sa Lettre sur le Sillon à propos de la Cité catholique, on pourrait dire aussi que la liturgie n’est plus à inventer ni le nouvel ordo à bâtir dans les nuées (œcuméniques de Vatican II). Ils ont été, ils sont : c’est la liturgie catholique, c’est l’usus antiquior. Il ne s’agit que de les instaurer et de les restaurer sans cesse sur leurs fondements traditionnels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété. » C'est sans doute en ce sens qu'il faut exiger, partout où cela est possible, l'application loyale et généreuse de Summorum Pontificum.

     

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