Ce qui m'étonne le plus dans cette affaire c'est l'absence de témoignages de journalistes. Ou le journaliste italien est un bricolo complètement nul qui accepte de se voir désavoué, d'avoir mis entre guillemets des propos fantaisistes et qui malgré trois tours de pistes est toujours en place !
Ou alors il y a une monstrueuse complicité entre le directeur de la rédaction, le journaliste et le Saint Siège pour nous servir le brouet habituel.
J'ai interviewé cinq présidents de la république en Amérique latine ; j'étais présent à l'interview organisée par moi, du président Chirac par un rédacteur en chef d'un grand journal espagnol. Dans tous les cas un enregistrement fait foi ! Et s'il y a contestation on se reporte aux mots réellement prononcés.
C'est quoi cet entretien informe dont on ne sait rien ? Nous avons là une interview atypique, je dirais élastique, un genre de communication que même le président Hollande n'ose pas pratiquer.
Je n'ai rien à dire sur le pape François mais ce journaliste ne mérite pas son salaire bien qu'il fasse vendre beaucoup de papier !
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