ne faudrait-il pas, je pose la question, une juridiction de suppléance d'abord pour accorder certaines indulgences spéciales, accordées en temps normal lors d'un jubilé ?
Un jubilé qui en temps non-normal ne saurait qu'orbiter dans le néant canonique.
Enfin, je m'arrêterai là.
Pour les confessions, la situation est assez claire, puisqu'elles sont nécessaires au salut à tout pécheur mortel, aussi en dehors du danger de mort immédiat.
Une indulgence, en revanche, ne saurait être nécessaire au salut, quoique elle soit bien entendu salutaire. Mais si elle n'est pas accordée, rien de grave ne se passe, et l'on est bien réduit à se contenter de celles accordées une fois pour toutes dans un passé sûr.
Celles, parcontre, accordées jadis pour un laps de temps bien précis, ne sauraient continuer, une fois ce laps de temps révolu.
On est bien loin de 1950 ou 1954.
Fugit irreparabile tempus.
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