Dans "pathologique" (d'ailleurs, vous vouliez peut-être dire "pathétique", qui est de la même racine), il y a "pathos", qui signifie "souffrance". D'ailleurs, on peut être "sym-path-ique", "plein de compassion", ce que je m'efforce d'être, de même que les autres liseurs contributeurs à votre post.

Et effectivement, je reconnais que je suis un garçon en souffrance, dans le domaine liturgique, qui est la vitrine que l'Eglise présente aux hommes de bonne volonté en recherche : mon coeur ne peut s'empêcher de penser différemment de ma raison qui s'efforce de s'appliquer une sorte de méthode coué ("t'inquiète, c'est formidable, ce à quoi tu assistes est attirant pour les non-croyants, et renforce dans leur foi les croyants").

Bref, merci à XA de faire exister, contre vents et marées, ce forum où il est possible d'échanger, et désolé que cela vous attriste : dans ce cas-là, nous sym-PATH-isons, souffrant tous sur certains points.

La grande question est de savoir comment amener les âmes du mieux possible au Christ, et nous sommes plusieurs à estimer ici que la liturgie byzantine russe est splendide, et que l'Eglise s'est transformée en naine de ce côté-là avec sa nouvelle liturgie, telle du moins qu'elle est célébrée un peu partout.

Ensuite, où est la solution, c'est une autre question.

En tout cas, bravo à ces séminaristes, et toutes nos prières à leur intention.

Avec toute ma sym-PATH-ie...

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