Mais il y en a assez de ces personnes qui veulent imposer un vote au nom du principe du moindre mal, car elles ne trouvent pas d'autres arguments pour défendre leur position, voire leur intérêt personnel.
Dans une telle situation le plus sage est l'abstention, d'autant que les dés sont pipés, que l'élection du président répond difficilement à la constitution par la non possibilité de s'exprimer par un suffrage blanc non comptabilisé qui serait un désaveu de la dictature des partis.
Les tenants du moindre mal, comme ont l'a vu dernièrement souvent des clercs sont obligés de s'excuser en disant qu'il ne faut pas voir à leur opposition à Hollande un soutien à Sarko, et en plus l'on nous prend pour des imbéciles.
Donc la solution défendue dans cet article de l'abstention est en quelque sorte le réel moindre mal si l'on peut donner un crédit à ce principe.
l'on oublie trop souvent qu'entre faire un mauvais choix et ne pas faire de choix, ne pas faire de choix peut-être ce moindre mal.
Car ne pas faire de choix est considéré comme ne pas accomplir son devoir d'état, ainsi un médecin peut décider s'il ne peut empêcher un avortement au moins de ne pas y participer.
Or il est utopique de croire que les programmes des candidats agréés par le système soient si différents ou ne finissent pas à faire que les lois soient finalement identiques.
Ici les cas évoqués
-le mariage homo, est comme certains l'ont avoué dans les tiroirs de l'ump, et sarkozy en son temps s'est prononcé sur le sujet.
Quand à l'euthanasie étant interdite par la commission éthique européenne, cela promet de jolis procés ou la France sera condamnée.
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