il faudrait aussi de faire disparaître de la même manière des registres de l'état civil les mariages qui se seraient soldés par un divorce !
Pourtant, dans la pratique administrative actuelle, le divorce est juste signalé par une note reprise en marge de l'acte de mariage: la réalité de l'acte de mariage reste constatée, la note marginale complète quant à sa disolution.
Comme le suggère le professeur Perrin, faire disparaître des centaines de milliers de noms de centaines de milliers de documents d'archives nous ferait entrer dans une logique de régime totalitaire.
Quant à la question de la consultation par des tiers évoquée dans l'arrêt, je conseille aux autorités religieuses d'adopter ci ce n'est déjà fait, les textes réglementaires nécessaires pour encadrer la consultation de leurs archives par des tiers. Concernant la consultation des registres paroissiaux, le mieux est de s'aligner sur les dispositions réglementant la consultation des registres de l'état civil; pour le reste les dispositions concernant l'accès à des documents pouvant mettre en cause la vie privée des personnes seraient d'application pour les autres archives des institutions ecclésiastiques.
Je conseille à ce Monsieur, avant de faire tant de problème à cet évêque, de faire le tour des albums de famille et d'en ôter toutes les photos qui pourraient lui rappeler cet évènement. Et de porter plainte contre sa grand-mère qui garde jalousement sur sa cheminée la photo du petit le jour de sa communion !
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