Vous mélangez tout: la conservation d'un texte dans un office, et l'historicité.
Il y a un premier problème: les offices et toute la liturgie au départ sont faits / étaient faits pour être totalement chantés.
Du coup, la mélodie et la pratique du chant, par essence , fixent les textes. le chant en quelque sorte domine le texte. Ce qui fait d'ailleurs que dans cet univers du "ne varietur", il restait TRÈS difficile de changer un texte d'un office.
Du coup, le deuxième problème, c'est l'abandon du chant au profit de la lecture des textes: c'est un abandon déstabilisant, parce que du coup, tout se met à changer.
Or le critère de conservation, durant des siècles, ce fut et c'est le chant, avant tout.
là où cela devient très complexe, c'est la dispersion dans tous les sens des critères de dépoussiérage, avec un méli-mélo sur les fondements historiques. Pour les fondamentaux historiques, ce n'est plus tout à fait le même domaine, par ce que l'office est avant tout une prière et pas un cours d'anthropologie historique religieuse.
Après , pour les dévotions populaires, même Benoît XVI a rappelé que c'était un domaine ou sévissait l'Esprit-Saint...
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