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Réfutation point par point de la critique de l'abbé Billecocq
par Signo 2023-09-14 21:29:39
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La critique de l'abbé Billecocq de Lumen Gentium repose sur une lecture fallacieuse et déformante de la constitution conciliaire. C'est assez facile à démontrer.

Il est significatif que le peuple de Dieu (chapitre 2) soit traité avant la hiérarchie. C’est précisément dans le chapitre 2 qu’est abordée la question d’un sacerdoce commun aux fidèles et aux prêtres, avant de parler du sacerdoce ministériel propre aux prêtres. La maladresse de ce plan apporte une équivoque théologique : quelle est la relation entre ces « deux » sacerdoces ? Lequel est premier ? Pour certains Pères conciliaires, c’est le sacerdoce commun des fidèles, de sorte que l’Église n’est plus d’abord une hiérarchie, mais devient l’unité d’un peuple (orientée d’ailleurs vers l’unité du genre humain) : les laïcs consacrent le monde à Dieu est-il dit au numéro 34. Ce n’est pas en vain que les évêques ont même demandé la participation des laïcs jusqu’au sein même de la curie romaine.

Propos qui révèle l’ecclésiologie boiteuse de la FSSPX. Ainsi, pour l'abbé B., le Christ serait venu instaurer d'abord une «hiérarchie». Que tous les hommes soient sauvés est visiblement secondaire pour lui. Ce qui compte, c'est d'abord le pape, les cardinaux, les évêques, les prêtres et diacres. Bref, les clercs. Dans cette vision ultracléricale de l'Eglise, les fidèles sont à peine tolérés, ils constituent en quelque sorte un appendice très secondaire et accessoire de l'Eglise. Pour lui, le Christ est d'abord venu instaurer un clergé. Les "laics" ne comptent pas vraiment; au fond, on pourrait s'en passer. Pas besoin d'être sorti de Saint-Cyr pour s'apercevoir que cette ecclésiologie fausse est précisément ce à quoi réagit le progressisme synodal actuel. C'est ainsi que l'intégrisme engendre par réaction le progressisme, selon un mécanisme que L. Bouyer avait bien analysé dès 1968.

Dire que l'un des deux sacerdoces serait "premier" n'a évidemment strictement aucun sens. Que veut dire "premier"? Est-ce une évaluation chronologique? Ou bien une appréciation de valeur? Dans le premier cas, il est certain que le ministère apostolique apparaît en premier. Mais ce qui compte aux yeux de Dieu, la réalité la plus importante, c'est bien le sacerdoce baptismal, c'est à dire que les fidèles baptisés s'offrent au Père par le Fils dans l'Esprit, par le témoignage d'une vie sainte. Le sacerdoce ministériel n'existe que par rapport au sacerdoce baptismal dont il est le serviteur. D'ailleurs, rappelons nous que le sacerdoce baptismal est mentionné explicitement dans l'Ecriture (1 Pierre 2, 5-10) alors que le sacerdoce ministériel n'est mentionné qu'implicitement. Il est littéralement hallucinant que la FSSPX perde le sens de cette réalité théologique fondamentale.

Et oui, le Christ réalise bien, en son Corps mystique, l'unité du genre humain, puisqu'incorporés à Lui par le baptême nous sommes un, en communion les uns avec les autres et avec le Père (Jean 17, 22-23). Il n'est pas question ici de "Fratelli Tutti" et de son délire fraterno-universaliste, mais de réalités théologiques que personne ne saurait nier sans remettre en cause la foi catholique elle-même.

D’autre part, la vocation universelle à la sainteté est une réalité : le Bon Dieu appelle tous les hommes à la sainteté. Mais celle-ci n’est pas une affaire banale ou ordinaire. Elle nécessite l’héroïcité des vertus et particulièrement des vertus théologales. Or le texte gomme cette héroïcité. C’est tout l’aspect de sacrifice, de mortification et de vie intérieure qui s’effondre par là même. La sainteté devient quelque chose de commun. Conséquence : les canonisations seront de plus en plus nombreuses, sans pour autant proposer de véritables modèles…

Non seulement l'abbé B. fait dire au texte des choses qu'il ne dit pas, mais en plus il le falsifie sciemment en lui faisant dire l'inverse de ce qu'il dit. Voici par exemple un extrait de LG 14:


Tous les fils de l'Eglise doivent d'ailleurs se souvenir que la grandeur de leur condition doit être rapportée non à leurs mérites, mais à une grâce particulière du Christ; s'ils n'y correspondent pas par la pensée, la parole et l'action, ce n'est pas le salut qu'elle leur vaudra, mais un plus sévère jugement.



Par ailleurs je suis moi le premier à être assez critique sur certaines canonisations récentes, mais c'est tout de même aller un peu vite en besogne que de considérer que Mère Teresa, Maximilien Kolbe, ou les martyrs de la guerre d'Espagne «ne constituent pas de véritables modèles»...

Avec une constitution dite dogmatique, on est en droit d’attendre un vrai traité sur l’Église, à commencer par une définition claire et explicite, avec explication. Le chrétien qui connaît son catéchisme a alors la certitude qu’il retrouvera les termes familiers qu’il a appris : société de baptisés, hiérarchie, unité dans la foi…
La déception est bien cruelle lorsque la lecture du premier chapitre est achevée. C’est sur une note de flou, de vague que l’on reste. Dès le début, l’Église est définie comme sacrement [2]. Cette définition est toute nouvelle. Alors que le terme de sacrement est réservé aux réalités sensibles qui causent et produisent la grâce, avec ce texte, la terminologie change et crée la confusion.
Cette définition est reprise un peu plus loin et apporte une explicitation [3]. Pour faire simple, l’Église devient le signe (et la cause) de l’union à Dieu. Elle doit donc réaliser ici-bas comme signe, ce qu’elle veut produire comme cause. L’Église est donc essentiellement une union, un peuple, une assemblée qui vit en communion et se sauve dans la mesure où est réalisée sur terre cette communion ou unité [4].
L’Église est un royaume. Elle est un peuple messianique et rédempteur…


Curieux passage, dans lequel l'abbé B. reproche, finalement, au concile de ne pas répéter servilement la théologie telle qu'elle était formulée au XIXe siècle. Il oublie un peu vite que l'Eglise n'a cessé d'apporter des définitions et un vocabulaire théologique nouveaux pour exprimer toujours la même réalité. La Trinité, la transsubstantiation, le titre de Mère de Dieu, tous ces termes étaient des «nouveautés» au moment où ils ont été formulés pour la première fois. Et on me pardonnera de préférer, pour définir le mystère de l'Eglise, le terme de Peuple de Dieu, qui a au moins l'avantage d'être biblique (il apparaît de nombreuses fois dans le NT comme en 1 Pierre 2, 10), plutôt que celui, très typé XIXe, de «société» (que reprend d'ailleurs LG), ou encore pire, de «société parfaite», terme ambigu s'il en est, qui semble donner de l'Eglise une vision purement humaine et sociologique, qui plus est qui pourrait se passer de l'Etat, de l'armée, etc (ben oui, puisqu'elle est "parfaite"!). On retrouve, dans ces propos, toujours cette indéfendable méfiance pour le vocabulaire biblique, soupçonné de protestantisme, méfiance si typique du "catholicisme" post-tridentin... oubliant un peu vite le rôle central et fondamental que l'Eglise de l'époque patristique et médiévale avait toujours reconnu à l'Ecriture sainte. Oubliant aussi qu'être catholique signifie adhérer à la vérité dans sa plénitude révélée par le Christ, et non pas à vouloir se distinguer à tout prix du protestantisme!

Dans la cadre de cette définition, il est une autre expression qui mérite d’être mentionnée tant elle est ambiguë. Il est écrit : « … C’est là l’unique Église du Christ, une, sainte, catholique, apostolique… Cette Église, constituée et organisée en ce monde comme une société, existe dans l’Église du Christ… » [5]
Nul besoin d’être qualifié pour comprendre que « subsister dans » ne signifie pas la même chose qu’ « être » l’Église catholique. Si le concile avait dit que l’Église du Christ est l’Église catholique, nous n’aurions rien à dire : c’est vrai. Mais dire que l’Église du Christ subsiste dans l’Église catholique laisse entendre que l’Église catholique est plus large que l’Église du Christ. Cela laisse la place à d’autres entités au sein de l’Église catholique ; la porte est donc ouverte à l’œcuménisme… D’ailleurs, cette conclusion est vérifiée au n° 15 de cette constitution
[6].


Bien sûr que l'Eglise du Christ est plus large que les limites visibles de l'Eglise catholique. Et encore heureux. Les Eglises orthodoxes, malgré les quelques erreurs ecclésiologiques et les limitations théologiques qui sont les leurs, sont pleinement des Eglises, avec la succession apostolique et les sacrements valides. Dire que les fidèles de ces Eglises (dont l'écrasante majorité ne portent aucune responsabilité dans leur situation schismatique) sont exclus de l'Eglise catholique invisible, donc du salut (puisque extra Ecclesia nulla salus) relève d'une position à la fois intenable sur le plan du bon sens et contraire à ce que l'Eglise a toujours enseigné. Soit les sacrements des schismatiques et hérétiques sont valides, et donc ils sont, dans une certaine mesure (on parle de communion imparfaite), intégrés à l'Eglise catholique, soit ils ne le sont pas. Or l'Eglise a toujours reconnu la validité du baptême des hérétiques (même chez les protestants donc) et de tous les autres sacrements dans les Eglises schismatiques. Or le baptême validement conféré remet les péchés et incorpore celui qui le reçoit dans le Corps mystique. Les effets de cette incorporation peuvent être dégradés par l'hérésie, mais pas totalement. C'est là une vérité de foi que personne ne saurait nier.

Citant saint Pierre au numéro 9 (« vous êtes une race choisi, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple que Dieu s’est acquis… » [7] ) le texte développe la définition de l’Église comme peuple pour attribuer aux fidèles un certain sacerdoce [8].
C’est une expression nouvelle, certes déjà amorcée par le pape Pie XII dans Mediator Dei. Mais là où le pape expliquait très clairement qu’il s’agit pour les fidèles d’un sens métaphorique et impropre, d’un titre purement honorifique, le texte du concile sème l’ambiguïté et la confusion en n’apportant plus ces distinctions claires. C’est une ouverture à la participation active des laïcs dans la liturgie, et à leur importance au sein de l’Église (cf. ensuite le chapitre 4 de cette constitution).


Là, je pense que la FSSPX est à la limite de l'hérésie. Je passe sur la contradiction qu'il y a d'un côté à dire qu'une expression qui se trouve à la fois dans l'Ecriture et chez Pie XII (probablement chez de nombreux Pères de l'Eglise aussi) est "nouvelle". Mais le pire n'est pas là. Non, en aucun cas, on ne peut réduire le sacerdoce baptismal à n'être qu'une «métaphore». Non, le sacrement du baptême n'est pas une métaphore. Non seulement le sacerdoce baptismal est un vrai sacerdoce, mais il est même LE sacerdoce par excellence de la nouvelle Alliance. Le sacrifice qu'accomplit le baptisé est un sacrifice réel (l'offrande de la totalité de son existence dans l'amour = sainteté, déification, theosis) et certainement pas métaphorique. Les baptisés sont de vrais prêtres, mais d'un sacerdoce distinct de celui de l'Ancienne alliance et différent par nature du sacerdoce ministériel. Mais ce n'est pas parce qu'il s'agit d'un autre type de sacerdoce que ce n'est qu'une «métaphore». Ce point est capital et est incompris à la fois par les progressistes et les intégristes.

L’erreur la plus dangereuse parce qu’elle touche à la constitution de l’Église mais aussi la plus difficile se trouve dans le troisième chapitre. On la nomme collégialité. Face à deux positions opposées (l’affirmation catholique d’une part de l’unicité du pouvoir suprême dans la personne du pape et l’affirmation hérétique d’autre part d’un pouvoir suprême qui appartient à l’assemblée des évêques dont le pape est le président) le concile apporte une nouvelle équivoque. Il affirme en effet que « l’ordre des évêques… est aussi, avec sa tête le Pontife Romain et jamais sans cette tête, le sujet du suprême et plein pouvoir dans l’Église » [10].
On se trouve ainsi avec une Église bicéphale : le pape d’un côté, le pape et les évêques de l’autre. De quoi paralyser l’autorité et introduire une forme de démocratie au sein de l’Église. Cette ambiguïté n’est hélas pas levée par la Nota explicativa prævia ajoutée par la suite. En effet, cette incise insérée par le pape empêche simplement d’introduire la collégialité comme seule détentrice du pouvoir, ce qui serait retomber dans l’hérésie de l’épiscopalisme. Mais elle n’affirme que le pape est l’unique détenteur du pouvoir suprême sur toute l’Église.


On peine à croire qu'un prêtre catholique ait pu écrire des énormités pareilles. L'ecclésiologie de l'abbé B. est à la limite de l'hérésie. Elle est purement et simplement la version retournée de l'hérésie épiscopaliste. L'épiscopalisme affirmait que toute l'autorité est dans les conciles. L'abbé B. lui affirme que toute l'autorité réside dans le pape seul. Il ne semble visiblement pas comprendre que la vérité n'est pas le contraire de l'erreur (le contraire de l'erreur... est juste une erreur contraire), mais tout autre chose. Si l'on mène son ecclésiologie gravement déséquilibrée au bout de sa logique, le Credo que nous chantons tous les dimanches n'a aucune valeur doctrinale, puisque Nicée n'était qu'un concile (qui plus est réuni en l'absence du pape) et que les conciles n'ont en eux-mêmes aucune autorité dans l'Eglise (ce qui est une affirmation tout simplement délirante et contraire à toute la Tradition ). Marie n'est pas «Mère de Dieu», puisque c'est un concile qui lui a attribué ce titre. Il oublie que le pouvoir de lier et de délier que le Christ a donné à Pierre individuellement (Matthieu 16, 19), il l'a aussi donné à l'ensemble des apôtres (Matthieu 18, 18). Il oublie que l'Eglise a toujours reconnu au collège épiscopal en général, et en particulier lorsqu'ils sont réunis en concile œcuménique, une autorité doctrinale et même dogmatique indéniable. Il oublie que c'est le concile Vatican I qui a proclamé le dogme de l'infaillibilité pontificale. Il oublie que Pie IX et Pie XII ont chacun pris soin, avant de proclamer les dogmes de l'Immaculée Conception et de l'Assomption, de consulter l'ensemble des évêques de l'Eglise universelle. Qu'on le veuille ou non, la collégialité telle que rappelée par Vatican II (qu'il ne faut pas confondre avec la dérive épiscopalo-bureaucratique qu'est le fonctionnement actuel des conférences épiscopales, qui n'en est que la caricature) est un des fondements constants de l’ecclésiologie catholique la plus stricte et la plus traditionnelle. La remettre en cause, c'est purement et simplement remettre en cause 20 siècles de Tradition unanime.

En synthèse, il apparaît évident que l'abbé B. est aveuglé par sa haine du Concile, et que cette attitude irrationnelle le pousse à donner une interprétation déformante de LG, à lui faire dire ce qu'il ne dit pas, et révèle par sa critique -et c'est sans doute là le plus inquiétant- des lacunes théologiques majeures et une ecclésiologie gravement déséquilibrée, qui n'est, en définitive, qu'une version durcie et raidie de ce qu'était devenue la théologie et l'ecclésiologie du XIXe siècle.

     

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                                              Je ne suis pas un spécialiste par Signo  (2023-09-16 12:49:50)
                          Vous avez raison par Jérusalem  (2023-09-17 14:38:10)
                              je précise pour Jérusalem que non pour Trente par Luc Perrin  (2023-09-19 09:59:40)
                  Éclaircissements théologiques bienvenus ? Je dirais plutôt enfumage ! par jl dAndré  (2023-09-19 15:28:51)
                      Par éclaircissements théologiques bienvenus... par Signo  (2023-09-19 19:57:15)
                          La polémique du subsistit in ! par jl dAndré  (2023-09-20 15:27:48)
          Une analyse détaillée d'avant Vatican II... par vistemboir2  (2023-09-14 15:57:04)
              Le bon lien... par Sacerdos simplex  (2023-09-14 16:08:29)
          Une seul souci: définir par baudelairec2000  (2023-09-14 16:04:22)
          Sur certaines erreurs de Lumen Gentium par Jean-Paul PARFU  (2023-09-14 17:12:51)
              [réponse] par Xaverus  (2023-09-14 20:21:55)
                  Précisions tendancieuses ! Xaverus par baudelairec2000  (2023-09-15 10:06:32)
                      D'accord avec vous baudelairec2000 par Jean-Paul PARFU  (2023-09-15 10:53:43)
                          Pour aller plus loin, mon cher Parfu par baudelairec2000  (2023-09-15 15:31:39)
                      [réponse] par Xaverus  (2023-09-16 08:03:38)
                          fil "surréaliste" à bien des égards par Luc Perrin  (2023-09-16 15:16:44)
              Non, il n'y a pas d'erreurs dans Lumen Gentium par Signo  (2023-09-15 21:44:38)
                  Très clairement exposé par Roger  (2023-09-17 08:01:00)
                      Eclaircissements orientés par Jean-Paul PARFU  (2023-09-17 16:44:41)
                          Réponse par Signo  (2023-09-18 22:19:58)
                              Hmmmm par Meneau  (2023-09-19 21:13:33)
                                  huhu par Lycobates  (2023-09-19 21:29:24)
                                      Faites-vous allusion par AVV-VVK  (2023-09-19 21:47:51)
                                  Eléments de réponse par Signo  (2023-09-19 22:19:02)
                                  Merci Meneau par Jean-Paul PARFU  (2023-09-20 10:27:39)
                          J'ai oublié le point 4) par Signo  (2023-09-18 22:48:20)


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