Il y a une ambiguïté dans la défense des racines chrétiennes de l'Europe. S'agit-il de les défendre comme étant, avec la Grèce et la Rome antiques, des éléments fondateurs? Ou s'agit-il en plus de les faire prospérer? En plus d'être là d'où nous venons, est-ce la où nous voudrions aller? Ou s'agit-il plutôt d'en garder la mémoire, de même qu'on continua a faire un peu de grec et de latin, sans pour autant vouloir faire revivre l'empire hellène? Mon expérience des identitaires est qu'une fraction au moins voit la chrétienté comme toile de fond d'une récit plus oui moins romancé, un peu de chouannerie, un peu de croisés, sans pour autant adhérer au christianisme (certains lui faisant les mêmes reproches que lui faisait Nietzsche).
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