Évidemment on peut très bien refuser le ralliement et ne pas avoir besoin d un tel lien.
Tout catholique "a besoin" d'un tel lien et ne refuserait jamais un "ralliement" avec le successeur légitime du bienheureux apôtre Pierre.
C'est une évidence. C'est même de foi. Pas toute évidence est de foi, même si elle pourrait souvent l'être. Mais tout ce qui est de foi est une évidence.
Cependant il est possible que ce "ralliement", que l'on ne saurait refuser sans devenir schismatique, ne s'effectue qu'en puissance, et ce pour des raisons étrangères au fidèle catholique moyen.
Mais il est absolument impossible de se "rallier" formellement a quelqu'un et à ceux dans son orbit qui ont fait preuve de leur hétérodoxie et hétéropraxie éclatantes depuis des années et qui y persistent, malgré remontrances et dubia même de personnes de qualité dans leur obédience même.
Quant à M. Zuppi, à moins d'avoir affaire à une erreur de casting, il devrait savoir (cela fait partie du métier d'acteur) comment un ecclésiastique mitré officiant des vêpres pontificales doit tenir ses mains en procession,
incollate, comme disait
l'autre, ou, autrement, en position assise.
Cela me rappelle cet autre erreur de casting, M. Cañizares de son nom (pas le
portero Lucas, qui aurait peut-être fait mieux, mais Antonio), que l'on a connu à Ávila officiant en pullover, avant que bien plus tard il n'affectionne la
cappa magna, pour revenir, après 2013, à moins d'extravagances, sans par ailleurs être parvenu à maîtriser les conclusions
Per Dominum nostrum ou
Qui vivis et regnas, non explicitées en toutes lettres dans nos livres liturgiques.
Quand on est Église de Dieu affligée, et fier de l'être, on n'est pas à l'abri des plus extraordinaires folies ...
Quelle mortification !