Qui est la vôtre mais si je la trouve heureuse liturgiquement, j'ai un peu du mal à en admettre la logique.
J'ai essayé d'en expliquer la logique, en argumentant avec des principes avérés, je crois correctement, dans le message cité
ci-dessus.
Je trouve incohérent de reprocher aux tradis "sédéplénistes" de refuser le nouveau missel quand vous refusez vous-même la Semaine Sainte de 1955, les nouvelles rubriques et la fête du 1er mai (pour ne pas la nommer). La question doctrinale est bien sûr différente.
La question doctrinale est effectivement différente !
Et cela fait toute la différence avec ce qui s'est passé plus tard dans les années 60, sous l'angle du "Vatican II", notamment avec le NOM, présenté (et imposé) par ces faux-monnayeurs mine de rien comme le nouveau missel romain. Ils n'en avaient pas le pouvoir, pas parce qu'un pape ne peut pas imposer un nouveau missel (il le peut), mais parce qu'il ne peut pas imposer un missel qui contient des erreurs théologiques et être pape à la fois.
Déceler une ligne droite (bugninienne) entre 1948 et 1969, qui est incontestable, et refuser de la suivre dès le début, ne veut pas dire que la critique des pas successifs de la réforme ne peut ou ne doit pas être differenciée, selon la gravité perçue (du point de vue de la doctrine) de ces mêmes réformes.
Mais nous nous éloignons déjà à grand pas de ce qui peut être discuté ici de façon ouverte.
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