je dis et constate qu'il est impossible de donner une définition univoque, ce qui ne pose problème que si l'on postule une "loi naturelle" universelle et absolue. La nature montre en particulier que les critères chromosomiques, anatomiques et hormonaux ne se recoupent pas toujours chez l'être humain. On est donc contraint, pour sauver une absolue binarité des sexes, de faire des choix (forcément subjectifs) entre ces critères.
Quant à fonder une loi naturelle sur les "cas normaux" cela n'a guère de sens. A partir de quel pourcentage décide-t-on si un cas est normal ou non?
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