Vous dites : "Par les temps qui courent, il est peut-être préférable que les Orthodoxes se tiennent éloignés d'un pape moderniste et d'une Eglise conciliaire."
Je ne connais pas "une Église conciliaire", en revanche je connais l'Église "une", "sainte", "catholique" et "apostolique".
Si demain à la sortie de la messe, un orthodoxe vient me voir en me demandant pourquoi il deviendrait catholique, je devrais lui dire "reste orthodoxe"... ?
S'il fallait conditionner l'annonce de l'Evangile et le désir de conversion à la foi catholique de ceux qui ne l'ont pas à la perfection des prélats, je ne sais pas où nous en serions aujourd'hui...
Enfin, vous dites que la séparation sera surmontée quand l'Eglise aura repris ses esprits. Le retour des orthodoxes dans l'Église n'ayant pas eu lieu depuis le schisme, doit-on considérer que l'Eglise durant la Réforme catholique, par exemple, avait elle aussi "perdu ses esprits" ?
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