Où l'herméneutique de la rupture est-elle repérable ?
Mais par exemple chez ces évêques français qui prétendaient appliquer le Concile tout en persécutant ceux qui voulaient continuer à avoir leur liturgie en latin, comme c'est écrit dans le Concile ; ou qui encourageaient l'engagement des catholiques dans les partis totalitaristes (toujours plus d'Etat), ignorant les condamnations précédentes comme si elles n'avaient plus cours... (Notez que dès les années cinquante, les évêques français, dans leur grande majorité, ne comprenaient pas la doctrine des corps intermédiaires, et étaient très remontés contre Mgr Lefebvre qui, lui, soutenait la Cité Catholique de Jean Ousset.
Par quoi est-elle reconnaissable ?
Mais comme son nom l'indique, à ceci qu'elle voit Vatican II comme initiant une rupture par rapport au passé, et je viens de vous en donner deux exemples.
Cette herméneutique est générale, dites-vous.
Eh bien non, il y a eu de nombreuses résistances : on a persécuté les résistants, mais ils n'en ont pas pour autant cessé d'agir et d'écrire.
L'Abbé Guérin en est un exemple, mais il y en a eu bien d'autres, même s'ils furent moins célèbres : j'ai connu entre autres l'Abbé Jean Renard à Amiens...
VdP
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