C'est même la seule solution, dans la nouvelle bataille déclarée par le pape, pour conquérir de nouveaux lieux de culte et résister le plus efficacement possible.
Mais comme vous l'expliquez, c'est en effet très difficile et coûteux en organisation. Mais ni plus, ni moins que du temps de Saint-Nicolas ; à l'époque le combat avait été très rude et il s'en est fallu de peu pour que l'intervention policière soit réellement déclenchée.
Bien évidemment, XA a entièrement raison dans son message ci-dessous, la solution n'est pas le fameux "y'a cas, faut qu'on". Je ne peux pas moi-même analyser les tenants et aboutissants de la situation dijonnaise car je n'y réside pas. Il faut estimer les forces et présence, mesurer les avantages et les inconvénients, estimer les chances de gagner.
Mais à l'inverse il ne faut pas désespérer à l'avance, pas tomber dans la défaite idéologique avant même d'avoir commencé le combat. Il faut se souvenir que beaucoup pensaient, dans les années 1970, la messe de toujours définitivement condamnée. C'est à force d'espérance surnaturelle et de combat temporel que nos glorieux aînés ont autant obtenu pour la gloire de Dieu.
Comme je le dis et je le répète : à nous de nous en montrer dignes en entrant réellement en résistance.
Et résister, ce n'est pas affirmer benoîtement qu'un motu proprio comme celui en cause nous oblige à obéir. On n'obéit pas à des imbécilités, on ne boit pas le verre que l'on nous ordonne de boire si l'on sait qu'il est empoisonné.
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