Toujours tiré de la "Présentation générale du missel romain" :
Article 50 (rite d'introduction) :
"le prêtre, ou le diacre, ou un ministre laïc, peut, par quelques mots très brefs, introduire les fidèles à la messe du jour"
Article 7
Le prêtre "introduit par une brève monition" la prière universelle dont il choisit le contenu : le célébrant peut donc laisser libre court à sa créativité.
Article 74 (chant d'offertoire)
"Les normes qui concernent la manière d'exécuter ce chant sont les mêmes que pour le chant d'entrée (n°48) donc : "le prêtre... peut aussi l'adapter sous forme de monition d'ouverture".
Article 87 (chant de communion) : 4 textes possibles et 4 récitants possibles, soit 16 options possibles !
Vous avez là un message très clair qui explique ce qu'est devenu le NOM. On peut certes à chaque reprise choisir l'option la plus traditionnelle et cela donne une liturgie comme celle qui est célébrée à Flavigny, mais on peut aussi choisir "l'adaptation sous forme de monition" et là, le célébrant peut faire CE QU'IL VEUT, et cela donne la messe Pinochio célébrée par le cardinal Bergoglio à Buenos Aires. Comment vous et Pro Liturgia ne voyez-vous pas ce problème ?
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