En commençant la lecture de votre message, je pensais qu'il était ironique ; je m'aperçois que ce n'est malheureusement pas le cas.
Je suis effaré de constater qu'il se trouve même des traditionalistes pour approuver cette mesure folle, qui revient à traiter l'ensemble de la population, adolescents compris, comme des rats de laboratoire, et à affirmer peu ou prou que les corps appartiennent à l'État et aux fous furieux qui se trouvent à son sommet.
Et non, ce n'est pas une question d'obscurantisme ou d'inculture. Parmi mes amis catholiques, tous très diplômés et issus pour la plupart de la même grande école parisienne, la frontière passe surtout entre ceux qui ont opté pour des emplois de type administratif, qui sont tous vaccinistes à des degrés divers, et ceux qui se sont orientés vers la recherche (que ce soit en lettres ou en sciences), qui sont très massivement sceptiques et inquiets.
Jusqu'ici je me suis abstenu d'intervenir sur ces sujets, mais trop, c'est trop. Il y a vraiment dans cette hystérie sanitaire de plus en plus brutale et effrénée quelque chose de parareligieux et de parfaitement malsain.
Peregrinus
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