ce dont il ignore l’existence.
Dans le cas où un fidèle reste malgré tout, c’est lui qui révèle volontairement son état.
Ensuite vous inventez la présence d’un chantage. Mais
1/ communier à la messe n’est pas un droit.
2/ le prêtre a le devoir d’arrêter de confesser pour célèbre la messe. Donc si il cède au prétendu chantage, cela ne change rien par rapport à la situation arrêterait purement et simplement de confesser et de reprendre les confessions après la messe.
Enfin, il lui est aussi possible de communier après s’être confesser, la confession ayant eu lieu après la messe.
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