De même, la sexualité a une fin qui est la reproduction. Un acte homosexuel n'est donc pas conforme à la finalité de l'acte sexuel et est donc immoral !
On peut ajouter à l'évidence ci-dessus rappelée que le terme
homosexualité, néologisme récent (1891), devrait être proscrit de notre vocabulaire, car ce terme sous-entend l'idée que la déviance en question serait une forme possible de la sexualité, en regard d'une autre forme appelée
hétérosexualité, comme son pendant, or selon la loi naturelle il n'est qu'une sexualité valable et objectivement bonne, celle qui remplit la fin pour laquelle la sexualité est destinée, à savoir la procréation et l'épanouissement du couple humain nécessairement composé d'un homme et d'une femme.
Le dictionnaire ne manque de termes moins idéologiques et plus réalistes pour décrire de manière d'ailleurs neutre ce que l'on appelle l'inversion.
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