Et donc on est restés au milieu du gué avec les inconvénients de toutes les possibilités.
Pas de choix entre traitement et prévention
Pas de choix entre soins à l'hôpital et à la maison - donc c'est "tendu" dans le système hospitalier car le nombre de lits n'a pas évolué depuis un an
Pas de choix entre vaccin français et étranger : donc il y en a un (nantais) parti aux anglais.
Pas de choix entre gestion par le président (comme une guerre) et gestion déléguée : donc cacophonie entre les ministres, Macron, et la palanquée de comités theodule.
Pas de choix entre gestion nationale ou locale - le local est le bon niveau, mais il a fallu l'impossibilité sociale et politique d'un 3e confinement pour le comprendre.
Pas de choix entre constitution de stocks et flux tendu : donc quand on est enfin au point sur les masques, les respirateurs ou la logistique du vaccin, la pandémie a évolué et il y a surplus
Pas de choix entre recherche d'état (ou para étatique) et privée
Pas de choix entre modèle ambulatoire (lits à flux tendu, saturation tous les hivers) ou épidémique (fort stock de lits qui coûtent quand ils sont vides)
Pas de choix entre ville et campagne
Pas de choix entre catégories de population à protéger en priorité - pour ma part je pense qu'il eût fallu vacciner en priorité les personnes âgées, obèses et soignants qui sont les plus à risque, si et seulement si on avait fait le choix assumer de prévenir et de vacciner.
Pas de choix entre quelques vaccins sûrs et tous ceux qui sont disponibles
Pas de choix dans le traitement entre remèdes intrusifs (Remdesivir etc) et ceux qui stimulent la réponse immunitaire, auxquels seuls auraient dû aller les financements (anticorps monoclonaux et polyclonaux, interferons, vitamine D etc)
Et ainsi de suite
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !