Comme dans toute analogie la métaphore exprime un rapport de ressemblance partielle et non essentielle entre deux choses.

Et, dans le cas de la guerre qui sert de fond à la fiction dans le film il s’agit d’une guerre civile : yankees et sudistes faisant partie du même pais. La comparaison est possible avec l’opposition entre les réformistes conservateurs partisans de l’herméneutique de la continuité et les radicaux qui ne craignent pas d’affirmer celle de la rupture (comme l’école de Bologne).

Je suis de votre avis en ce qui concerne la nostalgie de certains sur le renouveau qui a suivi la fin du pontificat de Montini, mais je serai beaucoup plus proche du jugement que vous attribuez à la FSSPX.

Et je ne rejette pas en bloc les catholiques américains, ayant de proches parents que le sont, cela me paraît absurde, n’empêche qu’ils sont fortement éprouvés par les scandales qui voient la lumière aujourd’hui et qu’ils subissent depuis des décades.

En ce qui concerne le point central de ma comparaison est ; l’image du vent dévastateur et la manière de gérer ces problèmes de la part de François qui a – surtout en Amérique – un effet catastrophique.

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