Oui, il y a un lien entre les attitudes de celui qui jeûne de nourriture et de celui qui s'abstient de fumer.
L'idée qu'on puisse communier avec encore sur soi l'odeur du tabac et son goût dans la bouche me répugne.
Peut-être que l'Eglise devrait légiférer à ce sujet.
Pour ce qui est de la durée du jeûne, je pense que cette adaptation a été motivée par le changement de mode de vie - mais je peux me tromper. Autrefois on avait une vie plus physique : certes on dépensait davantage de calories, mais aussi on avait l'habitude d'avoir faim. On a aujourd'hui une vie avec moins de marche, etc., et le manque de nourriture porte plus rapidement sur les nerfs.
Ceci concédé, est-ce encore un jeûne que de ne pas manger pendant une heure ?
Votre dévoué Paterculus
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !