même si le Pape à peine élu et intronisé en 2013 ne s'était pas assimilé au diable mais semblait dans sa "plaisanterie" en être le confident ou le majordome.
Le malheur est qu'en 2018 la "plaisanterie" d'il y a cinq ans s'est révélée vraie à 100% quant au "client" McCarrick, un grand ami du cardinal Bergoglio et du Pape.
Au final on mesure la différence entre un bienheureux Paul VI glacé et horrifié en 1972 par les fumées de Satan infiltrées dans l'Église et son actuel successeur qui aime plaisanter avec le diable de façon récurrente.
Il est aisé de mesurer également la grande différence entre l'enseignement magistériel du pape Paul VI et celui du pape François.
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