Je vous en raconte une, vécue.
Dans l'établissement où j'ai fonctionné, il y avait (début de ma carrière) une bonne douzaine de prêtres, un frère ou deux, et une petite communauté de soeurs espagnoles.
Dans les années... fin 70, début 80, un collègue d'une autre école dont le fils était chez nous me dit "entre quatre-z-yeux" que tel père s'est permis des privautés avec son gamin.
Et je ne le crois pas ! Nos relations entrent donc par une période glaciation.
Plusieurs années plus tard, je reçois la preuve de la réalité des propos tenus... Une condamnation légère, de principe, mais elle avait été prononcée.
J'ai donc présenté mes excuses au papa, qui a bien voulu les accepter.
Plusieurs années plus tard, en conversation privée avec mon ancien directeur, un peu par hasard, cette histoire ancienne vient sur le tapis.
Figurez-vous que mon ancien patron m'a "juré ses grands dieux" que tout ça était faux. Quod non !
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